Le meilleur moyen de s'opposer : faire les mêmes erreurs !
Hier, Mme Royal était l'invité de M. Drucker dans l'émission Vivement dimanche sur France 2... Je n'ai pas regardé l'émission en toute hônneteté, donc cet article se base sur les rapports faits par les organes de presse.
Apparemment, donc, un partie de l'émission a été consacrée aux déboires sentimentaux de la Président ede la région Poitou-Charentes.
Apparemment, donc, un partie de l'émission a été consacrée aux déboires sentimentaux de la Président ede la région Poitou-Charentes.
"C'est vrai qu'être trompée, et quand ça dure pendant une période comme celle-là, c'est extrêmement difficile (…) ce qui est horrible, c'est le manque de vérité, le mensonge".
"À un moment, quand on ne partage plus la même conception de la fidélité et de la famille, il faut aussi se sauver au sens de garder son intégrité et regarder vers l'avenir.".
"J'ai assumé, je suis libérée de ça, je n'ai aucune rancœur, aucune rancune. Mes enfants sont debout, je suis debout, François est debout".(1)
Mme Guigou a réagi à ces propos sur la chaine Public Sénat :
"Je ne suis pas d'accord avec le fait de revenir sur un certain déballage de sa vie privée. Les Français méritent mieux. La politique, ce n'est pas "Les Feux de l'Amour".
"Pour la gauche, courir sur ce terrain-là derrière Nicolas Sarkozy n'est pas très malin".(2)
J'aurai tendance à être plutôt d'accord avec les positions de l'ex Garde des Sceaux sur ce sujet. Je trouve dommageable que la gauche, et en tout cas la personne qui serait la plus crédible en tant que force d'opposition à M. Sarkozy si l'on en croit les sondages tombe dans les mêmes travers que ce dernier :
D'une part, la confusion qu'ils entretiennent entre les élections locales et les enjeux nationaux. Je ne vais pas m'étendre à nouveau sur ce sujet, voir les articles précédents... (Bien sûr, la pétition est toujours en ligne et n'attend que vous).
D'autre part, une certaine tendance à l'effacement total du fait politique et du fait personnel. Je pense qu'il y a surement un juste milieu entre un livrement exhaustif de ses états d'âme et des ses péripéties sentimentales à la presse, et un cloisonnement total, qui n'est plus possible de nos jours de toute façon. Seulement, les leaders politiques de notre pays ne l'ont pas encore trouvé, à mon grand regret.
D'une part, la confusion qu'ils entretiennent entre les élections locales et les enjeux nationaux. Je ne vais pas m'étendre à nouveau sur ce sujet, voir les articles précédents... (Bien sûr, la pétition est toujours en ligne et n'attend que vous).
D'autre part, une certaine tendance à l'effacement total du fait politique et du fait personnel. Je pense qu'il y a surement un juste milieu entre un livrement exhaustif de ses états d'âme et des ses péripéties sentimentales à la presse, et un cloisonnement total, qui n'est plus possible de nos jours de toute façon. Seulement, les leaders politiques de notre pays ne l'ont pas encore trouvé, à mon grand regret.
(1) et (3) : extrait d'un article du Figaro, version internet.
(2) : extrait des pages actualités de Yahoo.